World Ultraball News
Le Thunder
Mr Light, le Coach :
C’est en 2101 que le monde ultraballien fait la connaissance de Mr Light. Ce dernier vient de prendre les commandes de la nouvelle franchise nord-américaine : les Milwaukee Thunderbirds. D’ou vient-il ? Qui est-il ? Personne ne le sait vraiment.
Après quelques mois d’enquête approfondie, on commence à découvrir la pointe de l’iceberg Light. Président de la compagnie Light Corp., qui à des ramifications dans tous les domaines (et pas toujours dans les plus cleans), Mr Light se porte assez rapidement acquéreur de la majorité des actions des Thunderbirds de Milwaukee, fraîchement cotés en bourse à sa demande. Dans la foulée, il acquière le réseau d’holo-diffusion UHV1 qui est à la limite de l’agonie et promet de lui donner une nouvelle image, celle de la chaîne de diffusion numéro un de L’Ultraball mondial.
Dès lors, les chemins des trois entités (Light, Thunder, UHV1) sont étroitement liés. Au fur et à mesure que Light et le Thunder montent de division, UHV1 acquière les droits de diffusion des ligues correspondantes.
Mais Light ne s’arrête pas là. Il tisse en effet bon nombre de liens durables avec beaucoup d’équipes et de coaches d’UB. Parmi ses proches dans le milieu on note : Lamanzer (meilleur ami de Light), Osaze, Breggen, Haakon le Terrible, le Colonel Moutarde, Zack et Bester. Il entretient également des liens d’amitié et de respect à distance avec de célèbres coachs d’UB comme SHB, Chacal, Bud Wiser, Métal Hurlant, Carnage et bien d’autres.
De plus, Mr Light est quelqu’un qui a à cœur de bien servir son sport. Ses nombreux contacts et sa verve facile lui permettent de trôner au comité de développement de la ligue dès 2103. Il y soulève un certain nombre de points et d’injustices et son acharnement fini souvent par payer. Il milite plus particulièrement pour les nouveaux coaches d’UB, favorisant sans cesse l’accessibilité à l’information et à la formation aux jeunes coaches.
Pour faciliter cela, il ouvre une école de coaching ou il fait partager son art à de nombreux nouveaux arrivants. Certains lâchent mais d’autres restent et commencent à se démarquer. On parle de Zack (Québec Unspeakable), Colonel Moutarde (Dijon Moustarders), Bester (Syrius Planum Black Omega) et plus récemment, GMM (Sofia Brutal Deluxe).
Les grands succès sportifs de Mr Light : 2103 : Champion de Golden (Milwaukee Thunderbirds), 2104 : Champion de Show League (Québec Enforcers) et second (Kathanga Siberian Behemoths), champion espoir (Québec Enforcers).
Milwaukee Thunderbirds :
En 2100 apparaissent les premières ligues d’ultraball à travers le monde. L’implantation du sport se fait de manière plutôt chaotique et nombreuses sont les ligues qui ne tiennent pas le coup par manque d’organisation, d’argent ou de visibilité. Les Thunderbirds de Milwaukee sont créés à cette époque. Ils rejoignent l’USL, ligue qui, à l’époque, semble sérieuse bien que peu médiatisée. Il y connaissent un certain succès et y affrontent des équipes comme les Anchorage Killa Clowns. Mais, au beau milieu de la saison 2101, la ligue ne peut plus s’autofinancer. Certaines équipes comme les Clowns ont senti le coup venir et ont déjà fait le saut chez les pros, rejoignant la ligue mondiale.
Dès lors, l’équipe de Milwaukee doit, avec quelques autres, éponger la dette de la ligue tant bien que mal. Le choc est brutal, les caisses de l’équipe sont vides et cette dernière est au bord du gouffre.
C’est alors que le dénommé Mr Light fait irruption. L’homme d’affaire déclare être intéressé par l’équipe et propose alors de la redresser et de lui faire atteindre de nouveaux sommets en l’inscrivant dans les ligues professionnelles dès cette saison. La seule condition est que Light, alors inconnu dans l’univers ultraballien, prenne les commandes de l’équipe.
Après un bref délibéré, les dirigeants de l’équipes acceptent l’offre de Light et ce dernier commence le grand ménage dans leurs rangs et au sein même de l’effectif de l’équipe.
Il fait le tour des institutions douteuses de la ville et y déniche quelques futurs joueurs de qualité voir même de grand talent. Parmi eux, un certain Bob Johnson, alors âgé de 19 ans. Le seul joueur à rester au club parmi les membres de l’équipe initiale est le capitaine vétéran Bruce Mooney. Light a foie en lui et présage une grande carrière pour ce joueur malgré son âge avancé pour un joueur d’UB (26 ans).
L’équipe fait donc son entrée en ligue Open en 2101 alors que la saison bât son plein. Malheureusement, l’équipe se retrouve coincée au bas du classement et les conditions du calendrier de l’époque l’oblige à affronter successivement la jeune équipe de Samarkand, le clone d’Éternam et celui de Hamburg. Mr Light porte alors plainte à la ligue et obtient gain de cause. L’équipe est donc rattachée aux équipes de queue de classement et entame une remontée prometteuse. Avec seulement 7 matches de joués, les Thunderbirds finissent 9e de la ligue.
En 2102, l’équipe truste les pus hautes marches du classement et finie par se qualifier en Golden en arrachant la 4e place au classement. Cette année là, les abandons en ligues supérieures favorisent la montée de 4 équipes d’Open. Le Thunder est donc le dernier qualifié.
2103, l’année de la réussite. Dernier promu d’Open, rares sont ceux qui misent sur une bonne performance de Milwaukee. Pourtant, l’équipe domine la ligue et finie sa saison invaincue (10-1-0) et championne de Golden. Elle accède donc à l’élite, la ligue Platinium.
L’année 2104 commence bien mal pour les hommes de Mr Light. L’équipe est affaiblie par la hausse massive des salaires aux dernières enchères et doit faire face aux plus grosses cylindrées du circuit dès les premiers matches. Le début de saison est catastrophique mais tout le monde dans l’encadrement garde espoir et les résultats commencent à revenir. L’équipe finie 8e de Platinium. Les dirigeants sont satisfaits.
Enfin, arrive la saison 2105. Le Thunder peut compter sur l’acquisition d’une nouvelle étoile : Alberto Valbusa. Le successeur de Bruce Mooney est arrivé. Tous les espoirs sont permis, Milwaukee est 3e de Platinium après 6 journées et vient de connaître sa première défaite de la saison…
Les Forces :
Le Thunder, c’est d’abord un effectif solide. L’équipe de Milwaukee compte dans ses rangs des joueurs de grands talents comme Bruce Mooney mais surtout Bob Johnson, le meilleur plaqueur de la ligue et un des hommes les plus forts du monde selon le Killer Magazine. À seulement 23 ans, Johnson fait déjà trembler la ligue. Et que dire de Valbusa !? Après être resté assez mué en Open, à Rennes, ce joueur explose cette saison et, à 24 ans, devient la nouvelle star offensive de Milwaukee.
De plus, l’équipe peut compter sur un ensemble homogène de titulaires qui ont tous leur rôle à jouer. On a donc misé sur la qualité plus que sur la quantité. L’effectif de Milwaukee est l’un des plus résistant et des plus talentueux de la ligue et ne semble pas souffrir de son petit nombre de joueurs (8 + 1 jeune).
Enfin, la franchise peut compter sur un travail acharné de son encadrement. Le staff technique passe des heures à développer et améliorer des stratégies. On exploite le réseau de contacts et visionne le plus de bandes holo possible. On prépare minutieusement chaque stratégie en essayant d’anticiper chaque mouvement de l’adversaire. Ainsi, cette saison, en 12 possibilités, le Thunder à joué 10 stratégies offensives différentes, toutes adaptées à l’adversaire du moment. On peut donc parler d’une équipe imprévisible et assez difficile à manœuvrer.
Les Faiblesses :
La qualité de l’effectif étant la priorité numéro un du staff, certains aspects du management ont totalement été mis de coté. Ainsi, le Thunderdome est vétuste. Le stade en piteux état ne compte que 10 000 places et est dans le même état qu’au tout début de l’équipe en 2101.
Le centre de formation est insalubre. Rares sont les jeunes à avoir réussi à s’y démarquer à l’exception de Jared McMillan qui vient tout juste de signer un contrat pro de 3 ans.
Enfin, l’équipe n’est que peu avancée technologiquement pour une formation de son rang. On n’a toujours pas ouvert de boutique du club à Milwaukee!
La compétition :
La compétition est ce qui a principalement amené le coach Light à l’Ultraball. Gagner est le seul mot d’ordre. En se reposant sur un effectif jeune, Mr Light pense bien dominer la ligue Platinium d’ici deux saisons maximum. Rien de moins ! Pour ce faire, il compte bien, dès 2106, exploiter les capacités destructrices d’un Bob Johnson et les facéties offensives d’un Valbusa à leur maximum. Ces joueurs sont encore jeunes et leur seuil de progression est énorme. Seule ombre au tableau, le départ en retraite de Bruce Mooney. Si tout se passe bien, Mr Light devrait pallier au départ de son capitaine d’ici les enchères.
Pour l’année en court, les dirigeants du club sont très optimistes malgré la défaite crève-cœur contre Uluru. L’objectif étant de finir dans le top 5. Ce qui devrait être réalisable même si le championnat est plus relevé que jamais. Cela dit, tout espoir de titre n’est pas perdu et le Thunder jouera ses chances jusqu’au bout.
Enfin, les dirigeants du club on bon espoir d’un bon résultat en coupe qui pourrait conforter les finances du club et permettre de nouveaux investissements notamment au niveau du Thunderdome.
Anna-Lise Moissa, Milwaukee News.
Commentaires :
Re: Citizen Kane
CV impressionnant, Hautes ambitions et jolie plume !
Mais...que manque-t-il à Mister Light ? ^^
(Il est quand même pas heureux en amour, en plus !? :o))
ecole de coaching
je rentrerai volontier dans l'école de coaching^^, elle existe encore?, y reste des places?
Ah oui mais bien sûr !
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